Valentin Suchet : "Me battre pour la victoire"

23 février 2022

Le pilote suisse Valentin Suchet se prépare à sa deuxième saison au sein du Junior Team Suzuki LMS en FSBK. Après une belle année 2021, il évoque ses ambitions alors que les premières courses approchent.

 

- Heureux de continuer l’aventure avec le Junior Team Suzuki LMS en 2022 ?

Oui je suis heureux de rester au Junior Team, j’étais content de ma saison en 2021. Le projet avec les élèves m’a beaucoup plu et je suis impatient de découvrir les nouveaux pour cette année. J’espère qu’ils seront autant motivés que ceux de l'an dernier. Ça fait quelques temps que je fais de la compétition moto et jusqu’ici je n’ai jamais enchaîné deux saisons complètes, notamment à cause de blessures. Je pense que ça va me permettre de progresser encore plus.

 

 

- Quel regard portes-tu sur ta saison 2021 en FSBK ?

Un regard positif. En début de saison on a eu des difficultés avec nos pneus, mais ensuite on a bien progressé. En plus il y a une super ambiance dans le team, c’est important.

 

 

- Quels sont tes objectifs pour la saison à venir ?

Personnellement je veux donner le meilleur de moi-même et obtenir les meilleurs résultats. J’espère monter de nombreuses fois sur le podium et me battre le plus souvent possible pour la victoire. En FSBK le niveau est élevé et ça m’oblige à tout donner, j’aime bien. En plus la GSX-R1000 me convient bien, le moteur correspond bien à mon style.

 

 

- Qu’est-ce que ça fait de participer à un beau projet comme celui du Junior Team Suzuki LMS ?

J’adore, c’est une motivation supplémentaire. Hormis en Endurance, l’état d’esprit en compétition est souvent assez égoïste. Ici avec l’équipe, les élèves, il y a vraiment un côté humain et j’aime beaucoup. On partage beaucoup de choses ensemble.

 

 

- Rouler pour Suzuki c’est une fierté ?

C’est vraiment quelque chose de spécial. Quand j’étais enfant et que j’allais sur les circuits avec mon père, tout le monde roulait en Suzuki. C’est la première marque qui m’a fait rêver.

 

Crédits photo : Stéphane Valembois